Hello a tutti
Un mix speed, mêlant tracks récents et revenants des
roaring nineties, pour le plaisir des petites et des grandes...
DJ Speedloader
"Salami Is The New God" - Hardcore Mix (53 min.)
http://www.megaupload.com/?d=M2MF10PI 1. Tieum - "Speedragga" - Tcher No Beat 1
2. Moshpit - "Burn In Hell ! (Tieum Remix)" - IS 068
3. Unexist - "Sick Rhymes" - DT6 003
4. The Stunned Guys & Art Of Fighters - "Dopenose" - Traxtorm 73
5. Drokz & Tails - "Easy Man (Crazy Piano Mix)" - Kamikaze Records 7
6. DJ Nosferatu - "Hot-Headed" - Meta 4 C
7. DJ Partyraiser & Scrape Face - "Focking Niet Normaal !" - Megarave 108
8. Geniuses At Work - "Hardcore Factory (8-Bit)" - Megarave 050 A
9. Micropoint - "Join Or Die" - Headfuck 004
10. Stickhead - "Desperate Demolition" - Kotzaak -1
11. DJ Freak - "Motorman" - Hard Of Hearing 001
12. DJ Partyraiser & Scrape Face - "Fuck Y'All" - Megarave 094
13. Shadowlandz Terroristz - "Shadowlands Anthem" - MOH 030
14. Hellfish - "Compression Warrior" - Deathchant 19
15. Detest - "2 Obscore" - Bang A Rang 06
16. Bryan Fury - "Dead Or Alive" - Rebelscum 014
17. Enthropy Hardcore Brigade - "Dominate" - Enthropy 01
18. The Destroyer - "Save The Old" - Epileptik HS 11
+ special space end by Helius Zhamiq
"La techno est constituée de brefs fragments musicaux répétés indéfiniment, de façon stratifiée et circulaire. Ces deux spécificités permettent à l'auditeur de "s'approprier" la musique, de "faire prise" sur le flux sonore sans se soucier d'un début et d'une fin, d'un passé et d'un futur, mais en ayant la constante perception du présent : la techno dit constamment "maintenant". L'auditeur pratique ce qu'Agostini (1995) appelle une "prise de son" : il choisit, ou plutôt sélectionne, une piste particulière ou un son, s'approprie un objet mucisal. L'oreille isole une séquence répétitive, un "motif" parmi d'autres, l'auditeur se laisse guider par la sensation dégagée par le son : en passant insensiblement d'une piste à l'autre, on se promène dans la musique."
Extrait de "Raver", Astrid Fontaine et Caroline Fontana, collection Anthropos, Editions Economica, 1996 (p.31)