[ !! Reporté en Septembre !! ] Multison du 8 mai dans le 22

Bon ba vla, pas de terrain, pour cause d'un desistement d'un proprio, enfin bref une histoire cheloux dont je vous passe les détails.
Le fait est que les orgas ne voulaient pas d'une réquisition pour garder un bon contact avec les paysants. Pas idiot comme hatitude.
Voila donc tous cela sera remis à septembre...

Désolé à ceux qui était motivé !

Pour ma part je pense qu'un peu de calme aprés les evenement du 1er ne peut pas faire de mal.

au dernier moment après avoir vu les dégas du site du premier mai il annule super........ bref vraiment dommage de pas pouvoir voir kss ...

Non en fait c'est pas vraiment au dérnier moment...
Disont que c'est plutot qu'il n'y a pas eu de terrain de remplacement suite a une série de galére.
Donc voila voila...
Mais c'est remis en septembre...

franchement dègue!!!
je ne suis pas aller au 1er mai j'attendais celle la!!!
tant pis!!!

y'avai un terrain a lamballe trouvé depuis 2 semaines ... :p
edit : ha oui j'avai mal lu :p

Voila issue du Télégraphe

Citation :

Rave-party. La fête costarmoricaine reportée

7 mai 2009 - Réagissez à cet article


Les organisateurs du multisons costarmoricain ont décidé, hier, de reporter la fête de ce week-end. Parce qu'ils n'ont pas réussi à trouver un terrain. Et car ils ne souhaitent pas entrer en conflit avec la préfecture en appelant à un rassemblement sauvage.

«Nous avons choisi de ne pas aller au conflit ce week-end. Maintenant, l'objectif, c'est de construire et de trouver un terrain... d'entente». «Déçus», mais pas au point de renoncer à l'humour, les organisateurs de la rave costarmoricaine ont annoncé, hier, que la fête programmée vendredi, samedi et dimanche prochains n'aurait pas lieu. Une décision prise en concertation avec la préfecture des Côtes-d'Armor, leur interlocuteur privilégié depuis plusieurs mois. Placés dans l'obligation de trouver un terrain sous dix jours après l'échec des négociations la semaine passée avec la mairie de Lamballe, les sounds systems (collectif de musiciens et de techniciens) ont en effet échoué dans leurs démarches. Et, refusant que l'État ne réquisitionne un terrain (comme à Trémuson en juin2007), ils n'ont pas non plus choisi la voie du rapport de force avec l'institution. Celle d'une rave sauvage avec plusieurs milliers de participants. L'événement est donc reporté à la rentrée de septembre.

Stop aux «pressions des maires»

«Tant du côté de la préfecture que chez nous, il y a une volonté de concertation», indique SamuelRaymond de l'association Technotonomy. «Mais il y a un vrai problème avec les élus locaux. Il va falloir que les maires se mouillent un petit peu plus et qu'ils arrêtent d'exercer des pressions sur les propriétaires terriens». Car aujourd'hui, lorsqu'ils souhaitent organiser une fête techno rassemblant plus de 500 personnes, les sounds systems doivent répondre à trois obligations légales: trouver un propriétaire prêt à leur louer un terrain, avertir la mairie concernée et, ensuite, obtenir l'aval de la préfecture. Et selon Samuel Raymond, le blocage se situerait aujourd'hui au niveau des maires. Des maires qui verraient d'un très mauvais oeil la tenue de free parties sur leurs communes. «Ils se sentent obligés d'apparaître opposés au projet devant leurs administrés alors que, souvent, ils n'ont rien contre». «Pourtant des fêtes avec moins de 500 personnes, il y en a chaque week-end dans le département. Sans qu'il y ait le moindre problème», ajoute Draco, du sound system Art Maniac.

Le parallèle avec les gens du voyage

Il y a tout juste une semaine, lors d'un débat à Langueux entre élus, agriculteurs, représentants de la préfecture et sounds systems, RenéRégnault était reparti avec un a priori très favorable sur l'univers des free parties. À cette occasion, le président de l'association des maires de France du département s'était même engagé à sensibiliser ses collègues élus. Un premier pas pour Samuel Raymond: «Nous sommes prêts à nous déplacer et à faire des exposés de sensibilisation. Mais les élus vont devoir nous faire une place. Car aujourd'hui nous nous retrouvons un peu dans la même situation que les gens du voyage. Sur le principe, tout le monde est d'accord pour les accueillir. Mais au moment de trouver un volontaire, il n'y a plus personne».

* Julien Vaillant